Les banques sont peu optimistes pour EUR/USD alors que...
Alors que l’EUR/USD continue d’afficher une tendance baissière, les banques se montrent peu optimistes dans leurs plus récentes mises à jour à propos de la paire de devises.
Les analystes de Scotiabank ont par exemple prévenu que « l'euro se bat contre une vague de dynamique baissière à travers les études à court et moyen terme, ce qui rendra les gains soutenus difficiles à obtenir pour le moment ».
Les analystes de la banque ont par ailleurs identifié un premier support à à 1,0490/1,0500 et une résistance initiale à 1,0560/1,0570.
De leur côté, les analystes de la Commerzbank (ETR:CBKG) ont mis en lumière le risque que représente la dette en Europe, soulignant que « dans la zone euro, c'est le maillon le plus faible qui compte, car depuis la crise de la zone euro, la BCE est devenue le combattant de toutes les crises de la dette souveraine » et que « par conséquent, ce ne sont pas les niveaux d'endettement de l'Allemagne ou de la France qui devraient être utilisés pour évaluer l'euro, mais la situation budgétaire de l'Italie ».
Ils en ont ainsi conclu que « dans une comparaison entre le dollar américain et l'euro, l'euro serait probablement le perdant si les risques fiscaux redevenaient une préoccupation majeure du marché ».
Enfin, les analystes d’ING ont écrit ce lundi que « le resserrement des conditions financières - en particulier aux États-Unis - crée de nouveaux vents contraires à la croissance mondiale », et ont expliqué que « ces conditions devraient soutenir le dollar au cours des prochains mois.
« D'ordinaire, les mois de novembre et décembre sont faibles pour le dollar, mais la faible croissance dans la zone euro et ce qui pourrait être une prime de risque politique en faveur de l'euro pourraient maintenir l'EUR/USD à ces bas niveaux proches de 1,05 jusqu'à la fin de l'année » ont également déclaré les analystes, estimant que « même à 1,05, l'EUR/USD ne semble pas vraiment sous-évalué ».
Les analystes de Scotiabank ont par exemple prévenu que « l'euro se bat contre une vague de dynamique baissière à travers les études à court et moyen terme, ce qui rendra les gains soutenus difficiles à obtenir pour le moment ».
Les analystes de la banque ont par ailleurs identifié un premier support à à 1,0490/1,0500 et une résistance initiale à 1,0560/1,0570.
De leur côté, les analystes de la Commerzbank (ETR:CBKG) ont mis en lumière le risque que représente la dette en Europe, soulignant que « dans la zone euro, c'est le maillon le plus faible qui compte, car depuis la crise de la zone euro, la BCE est devenue le combattant de toutes les crises de la dette souveraine » et que « par conséquent, ce ne sont pas les niveaux d'endettement de l'Allemagne ou de la France qui devraient être utilisés pour évaluer l'euro, mais la situation budgétaire de l'Italie ».
Ils en ont ainsi conclu que « dans une comparaison entre le dollar américain et l'euro, l'euro serait probablement le perdant si les risques fiscaux redevenaient une préoccupation majeure du marché ».
Enfin, les analystes d’ING ont écrit ce lundi que « le resserrement des conditions financières - en particulier aux États-Unis - crée de nouveaux vents contraires à la croissance mondiale », et ont expliqué que « ces conditions devraient soutenir le dollar au cours des prochains mois.
« D'ordinaire, les mois de novembre et décembre sont faibles pour le dollar, mais la faible croissance dans la zone euro et ce qui pourrait être une prime de risque politique en faveur de l'euro pourraient maintenir l'EUR/USD à ces bas niveaux proches de 1,05 jusqu'à la fin de l'année » ont également déclaré les analystes, estimant que « même à 1,05, l'EUR/USD ne semble pas vraiment sous-évalué ».
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